schonefeld
Noël à Schönefeld, du réseau Gallia à la déportation
Il m’arrive encore, comme ce soir où je viens d’écrire ces dernières pages, d’être très triste. Mais il me suffit de penser à toi et de me dire « Colette n’aimerait pas cela » et je repars. Pour combien de temps ? Nul ne le sait. Le sursis a déjà été...